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Per una storia delle università minori nell’Italia contemporanea

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  • Autore Pomante Luigiaurelio
  • Codice ISBN (print) 978-88-6056-340-8
  • Numero pagine 453
  • Formato 14x21
  • Anno 2013
  • Editore © 2013 eum edizioni università di Macerata
Il mestiere di storico
Eum Redazione

di Andrea Mariuzzo, Il mestiere di storico, VI / 1, 2014, p. 220

"Le due parti del titolo individuano chiaramente gli obiettivi che l'a. si è proposto con quest'opera: redigere una cronaca delle vicende istituzionali, scientifiche e professionali legate all'ateneo maceratese negli ultimi due secoli, in continuità con gli studi che hanno fatto luce su dinamiche simili in relazione all'età moderna; e offrire attraverso un case study una riflessione sulle università 'minori' nel sistema italiano..."

http://www.sissco.it/il-mestiere-di-storico/

 
History of Education & Children’s Literature (HECL) XI/1 2016
Eum Redazione

Michel Ostenc recensisce il volume "Per una storia delle università minori nell’Italia contemporanea" sulle pagine di «History of Education & Children’s Literature» (HECL), XI/1 2016, pp. 541-543.

La recensione è disponibile nella sezione Download.

 
Annali di Storia delle università italiane
Eum Redazione

Alessandro Breccia recensisce il volume sugli Annali di Storia delle università italiane, Rivista semestrale, anno XIX, n. 19, 2/2015, pp. 164-167

 
Histoire de l’éducation
Eum Redazione

Annamaria Monti, « Pomante (Luigiaurelio). Per una storia delle università minori nell’Italia contemporanea. Il caso dello Studium Generale Maceratense tra Otto e Novecento », Histoire de l’éducation [En ligne], 142 | 2014, mis en ligne le 31 décembre 2014, consulté le 22 juin 2016. URL : http://histoire-education.revues.org/2985


L’ouvrage de Luigiaurelio Pomante, consacré à l’histoire de l’université de Macerata aux XIXe et XXe siècles s’inscrit dans un courant prolifique de recherches. D’un côté, l’histoire de cette « petite » université de l’Italie centrale a retenu l’attention des historiens à plusieurs reprises ces dernières années, des plus anciens travaux de Sandro Serangeli sur l’histoire du Studium maceratense à l’âge moderne, jusqu’aux récentes contributions collectées par Roberto Sani, et par Serangeli. D’un autre côté, les études sur l’histoire de ces universités dites « mineures » – dont l’ouvrage de L. Pomante est un exemple – se développent en Italie avec succès depuis une vingtaine d’années. Dans sa préface riche et stimulante, Gian Paolo Brizzi retrace les conditions d’émergence et les étapes du développement de ce courant historiographique. Il explique qu’au début des années 1990, le champ d’investigation des historiens s’est étendu à l’ensemble de l’offre d’enseignement supérieur, au-delà des grandes universités de la Péninsule qui avaient longtemps monopolisé l’attention des chercheurs, afin de saisir la complexité et la richesse du système universitaire dans son ensemble et de mettre en relief le rôle joué par ces institutions d’enseignement supérieur dans les différents contextes régionaux.
Depuis lors, nombreux ont été les travaux développés dans cette direction. À leur tour, ces recherches ont renouvelé les perspectives de réflexion sur le processus de construction de l’État national au XIXe siècle et sur les relations entre centre et périphérie dans l’Italie post-unitaire. S’inscrivant dans ce courant majeur, l’auteur replace les vicissitudes de l’université de Macerata, ancien établissement universitaire de la région des Marches, dans le contexte plus général de l’histoire des universités italiennes et, plus spécifiquement, des universités dites « mineures » à partir de l’époque napoléonienne et puis sous la Restauration.
En effet, les réformes de Napoléon, qui créent une hiérarchie parmi les institutions d’enseignement supérieur de la Péninsule (tout comme en France) non remise en cause par la suite, établissent une distinction entre universités majeures et mineures. Cette différenciation n’existait pas sous l’Ancien Régime et se fonde désormais sur une série de paramètres, tels que la nature et l’importance des financements gouvernementaux, le nombre des facultés et des chaires, la présence de bibliothèques, laboratoires, jardins botaniques, etc.
Avec la création de l’État unitaire et dans l’urgence de réorganiser et d’uniformiser le système universitaire sur l’ensemble du pays, la distinction est reprise par la loi du 31 juillet 1862 qui formalise une classification des établissements du royaume selon le nombre des facultés et des étudiants. L’objectif est de concentrer les ressources économiques afin de rendre plus compétitives à l’échelle européenne les universités les plus importantes, dites « de premier niveau » : Bologne, Naples, Palerme, Pavie, Turin, Pise, auxquelles s’ajoutent Padoue en 1866 et Rome en 1870. Dans le même temps, étant donné l’attachement des communautés locales aux institutions plus petites, dont l’origine remonte souvent à la période médiévale ou moderne, et face aux résistances rencontrées dans les débats parlementaires lorsque leur abolition était proposée, on finit par les incorporer dans le réseau des universités royales comme universités mineures, dites « de deuxième niveau ».
Macerata fait partie de cet ensemble. Si en 1860-1861, elle comptait trois facultés, (droit, médecine et chirurgie et philosophie), à partir de 1862, à la suite de la réforme évoquée, il ne lui reste qu’une faculté de droit. Elle devait rester dans cette situation jusqu’en 1964 : celle d’une petite université qui comprenait une seule et unique faculté, celle de droit, et des ressources financières très limitées (l’État, par exemple, ne prenait pas en charge les rétributions des professeurs). L’auteur décrit les étapes d’un parcours mouvementé qui, tout au long des XIXe et XXe siècles, conduit cette université des Marches à lutter pour se libérer de ce stigmate et pour se hisser au niveau des institutions d’enseignement supérieur de première catégorie. L. Pomante s’est plongé dans une très riche documentation d’archives et a fait appel à un grand nombre de sources imprimées pour retracer dans son livre la genèse d’une foule de réglementations législatives et ministérielles, le rôle de différentes personnalités politiques – parlementaires originaires des Marches ou bien notables locaux –, les interventions des administrations municipales et de la presse locale, ainsi que l’évolution des aides financières du gouvernement local (Comune et Provincia). Ces interventions conduisent à la création d’un Consortium universitaire en 1880 qui doit relancer définitivement l’institution. Au-delà des difficultés rencontrées, le but, à la fin du XIXe siècle, est d’obtenir pour Macerata « l’égalisation » (pareggiamento) avec les universités majeures, rendue possible à certaines conditions par le gouvernement de gauche qui avait pris le relais au niveau national.
L’auteur retrace également les efforts des recteurs pour promouvoir les inscriptions d’étudiants de la région ; les quêtes de financements ; les rapports avec les milieux économique et entrepreneurial de la ville et ses alentours ; l’effort plus général de la ville elle-même de dépasser son isolement géographique en investissant dans une amélioration des transports en commun. Finalement, L. Pomante arrive à nous offrir avec cet ouvrage une histoire vivace, précise et très documentée, à plusieurs voix.
Et, parmi les voix différentes qui ont été confrontées aux difficultés de la vie quotidienne dans cette petite université, se détachent particulièrement celles de jeunes professeurs de droit très doués, qui ne considèrent Macerata que comme une première étape d’une carrière destinée à se terminer dans une faculté de premier niveau, comme professeurs ordinaires. Ce phénomène contribue à expliquer une des difficultés majeures et récurrentes rencontrées par l’institution universitaire, le manque d’enseignants. Mais en leur donnant la parole, L. Pomante permet aussi de mettre en avant un autre point de vue. Elle montre que, souvent, les deux ou trois années que passent ces jeunes enseignants prometteurs à Macerata en tant que professeurs extraordinaires, ont été pour eux une expérience formatrice fondamentale, l’occasion de se faire un réseau en créant des liens avec les autres jeunes collègues issus de toutes les régions de l’Italie ainsi que l’opportunité de se faire connaître dans le milieu universitaire au travers des leçons inaugurales. C’est le cas, à la fin du XIXe siècle, pour des juristes reconnus comme que Federico Patetta (histoire du droit), Giacomo Venezian (droit civil), Giulio Cesare Buzzati (droit international) et Angelo Sraffa (droit commercial) : ce dernier a prononcé, à Macerata en 1894, un discours resté célèbre, sous le titre « La lutte commerciale », qui est présenté aujourd’hui comme une sorte de manifeste précurseur sur des thèmes cruciaux comme celui de la protection des consommateurs.
L’ouvrage retrace les difficultés et les paradoxes qui jalonnent l’histoire de cet établissement de la seconde moitié du XIXe siècle jusqu’à l’après Seconde Guerre mondiale. Ainsi, après avoir abordé les questions qui agitent Macerata au tournant du XXe siècle, l’auteur étudie plus spécifiquement les conséquences de la réforme de 1923 du ministre Giovanni Gentile. Cette loi, de portée historique pour l’enseignement supérieur en l’Italie, organise le système universitaire en réintroduisant une hiérarchie parmi les universités et renoue, donc, pour Macerata, avec les problèmes déjà rencontrés dans les décennies précédentes. Enfin, après une nouvelle période d’agitation, qui fait suite à la Seconde Guerre mondiale et à la chute du fascisme, la petite université connaît, dans l’Italie républicaine, l’évolution positive, tant souhaitée et recherchée, dont la description nous mène jusqu’à la veille des révoltes des étudiants de 1968, point final de l’étude de L. Pomante.
L’index des noms que l’auteur a rédigé est un outil précieux pour les chercheurs, étant donné la quantité de personnages qui participent à l’histoire tourmentée de cette institution d’enseignement supérieur. Et ce d’autant plus que L. Pomante inscrit l’histoire spécifique de l’université de Macerata dans un contexte plus général qui pourrait être utilement réemployé pour retracer l’histoire d’autres universités mineures. Le cas de Macerata constitue par ailleurs un exemple vivant d’histoire complexe de l’université en Italie, en mettant l’accent sur des sujets qui sont encore au cœur de l’actualité : il suffit de penser aux tensions très fortes qui traversent aujourd’hui le débat public et politique italien quant au nombre pertinent d’universités sur le territoire national, aux moyens de financement et à l’éventuel classement des établissements. Ces derniers sont élaborés sur la base de critères assez discutés, et fournissent des éléments dans l’opposition entre partisans d’universités méritocratiques et compétitives, et ceux qui les envisagent, au contraire, comme des lieux de formation garant du droit à l’instruction, protégé par la Constitution de 1948 et, bien sûr, portant une attention spécifique aux différentes situations locales.

 
Un teramano scrive la storia dell'Università di Macerata
Eum Redazione

La città - quotidiano della provincia di Teramo 27/11/2013
di Simone Gambacorta

Oggi pomeriggio un seminario di studi su due libri firmati da Luigiaurelio Pomante


Non è solo un giornalista e le sue passioni non si esauriscono nell'amatissimo calcio. La veste di cronista fa in verità non poca ombra - almeno dalle nostre parti - a uno dei più significativi versanti di impegno di un teramano notissimo, Luigiaurelio Pomante. Meglio ancora: non a uno dei più significativi, ma a quello più significativo in assoluto: quello, cioè, dove risiede la sua vera identità intellettuale.
Non molti, o forse addirittura pochi, sanno infatti che Pomante è prima di tutto uno storico. Uno storico "professionista". A dargli la patente è stata l'Università di Macerata, dove è titolare di un assegno di ricerca e dove ha conseguito il dottorato in Theory and History of Education.
Come frutti delle ricerche che porta avanti da anni - e che conduce, come è facile constatare, con una acribia davvero scientifica - hanno di recente visto la luce due volumi che hanno tutta l'aria (e la mole) di essere destinati a pesare (in bene, è chiaro) nel suo curriculum di giovane accademico e, quel che più conta, nel novero dei titoli che gli addetti ai lavori saranno chiamati a consultare per futuri studi nel settore.
Il primo, di cui Pomante è stato attentissimo curatore, s'intitola "L’Università di Macerata nell’Italia unita (1861-1966). Un secolo di storia dell’ateneo maceratese attraverso le relazioni inaugurali dei rettori e altre fonti archivistiche e a stampa" (Eum, pp. 800, 50 euro) e inaugura la collana "Studia et documenta Historiae Almii Studii Maceratensis" del Centro Studi e documentazione sulla storia dell'Università di Macerata.
Si tratta di un lavoro ciclopico, che nelle sue prime duecento fitte pagine delinea con grande puntualità sia la natura e le finalità dell'opera che la storia dell'ateneo marchigiano ("Per una storia dell'Università di Macerata nell'Italia unita", dove Pomante mostra tutta la sua stoffa, è di fatto un libro nel libro). A questa ampia parte "introduttiva" (corredata nel complesso da 537 note a piè pagina) seguono le relazioni dei rettori, anch'esse debitamente inquadrate e accompagnate dagli opportuni riferimenti. Un materiale davvero ricco, che comincia con le parole del Reggente Abdia Geronzi per l'anno 1879-1880 e che termina con quelle del Rettore Giuseppe Lavaggi per l'anno accademico 1965-1966. «Le relazioni annuali presentate dai rettori - scrive Roberto Sani nel suo denso saggio introduttivo - rappresentano indubbiamente una fonte di primaria importanza non solamente per cogliere la progettualità e le strategie politiche e universitarie perseguite dai diversi governi rettorali, ma anche per ripercorrere l'evoluzione dei singoli atenei e lumeggiarne la vita interna e le vicende relative all'attività scientifica e culturale e a quella didattica e formativa». E in questa riflessione di Sani è racchiuso il senso d'insieme del libro, necessariamente destinato a "fare testo" nelle bibliografie e venire. Non va poi trascurata l'"Appendice fotografica" cui Pomante ha saggiamente voluto dedicare l'intera terza parte del volume, dando così il giusto risalto anche alle tutt'altro che trascurabili fonti iconografiche.
Il secondo libro s'intitola invece "Per una storia delle università minori nell’Italia contemporanea. Il caso dello Studium Generale Maceratense tra Otto e Novecento" (Eum, pp. 455, 23 euro), e vede Pomante nelle vesti di autore tout-court.
Accolto dalla collana "History of Education & Childrens'Literature" diretta da Roberto Sani e Anna Ascenzi, e distesamente prefato da Gian Paolo Brizzi ("Le piccole università e l'inerzia dei luoghi comuni. Una presentazione"), il lavoro di Pomante dà brillantemente corpo a una dettagliata ricognizione sui «piccoli atenei di provincia sorti in larga misura in età moderna e destinati, dopo l'unificazione nazionale, a costituire una parte estremamente rilevante del sistema universitario della penisola».
In pratica, partendo dalla specola maceratese, e forte di un bagaglio documentale quanto mai robusto, Pomante penetra nella realtà universitaria italiana tra Otto e Novecento: quel che ne deriva è uno studio di ampio respiro, che propone una lettura innovativa e minuziosa dell'«evoluzione dell'istruzione superiore nell'Italia contemporanea».
Quello che colpisce, delle due pubblicazioni, è lo scrupolo e il lavoro di scavo con cui Pomante le ha realizzate. Per quanto riguarda fonti e riferimenti documentali, esibiscono difatti una solidità di apparati a dir poco considerevole. A questa va affiancata - e non è dato secondario - una felicità di penna che consente a Pomante di affrontare la complessità degli argomenti sulla scorta di una prosa rigorosa e ordinata, ma non per questo spigolosa. Importante (e pienamente riuscito) anche lo sforzo di inserire in un contesto più ampio le "vicende" delle realtà prese in esame, nel segno di una prospettiva tutt'altro che conchiusa e di corto respiro.
I due lavori saranno presentati questo pomeriggio alle 16 nell'Aula Magna dell'Università di Macerata. Non si tratterà - a dire il vero - di una semplice presentazione, ma di un vero e proprio seminario di studio incentrato sulle due opere firmate da Pomante. "Gli atenei minori nel sistema d'istruzione superiore dell'Italia unita: il caso dell'Università di Macerata". E' infatti questo il titolo dell'incontro cui, oltre allo stesso Pomante, prenderanno parte relatori di acclarata fama: Luigi Lacchè (magnifico rettore dell'Università di Macerata), Gian Paolo Brizzi (Università di Bologna), Floriana Colao (Università di Siena), Simonetta Polenghi (Università Cattolica di Milano), Mauro Moretti (Università per stranieri di Siena) e Roberto Sani (Università di Macerata).

www.quotidianolacitta.it

 
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